Quand je tourne les pages du livre de ma vie, je me rapelle bien des choses.

Des joies, des peines, de l'amour, des rencontres, superflues ou importante.

Le chapître de mon enfance est le plus beau, je suis né d'un amour vieillot,

je suis arrivée comme un cheveu sur la soupe, d'un couple qui se sont rencontré sur un tard.

Mon papa avait 50 ans et ma mère 45, mon père n'avait jamais eu d'enfant, une petite fille à 50 ans

l'age ou il aurait dut être grand-père.

J'ai été élevée dans un cocon en or et en argent.

Mon papa passait beaucoup de temps avec moi, il me trainait partout.

Il ne vivait que pour moi.

Il avait un grand établi, ou il me fesait tout les jouets en bois, il était menuisier ébéniste.

Il sciait, bricolait et moi je restais là des heures avec lui à le regarder faire, travailler.

Il fesait un potager, il fesait les trous, je mettais les graines derrière lui.

On n'avait une grande propriété, avec un verger, des animaux,un immense potager.

Et tous les cachettes possible pour jouer.

Je me souviens d'un grand saule pleureur qui avait de grandes branches qui trainait à terre,

il nous avait mit une table et des chaises pour y être bien à l'ombre l'été.

Je me souviens du gout des fruits que l'ont allait ceuillir sur les arbres, du lait de chèvre tout chaud.

Je sens encore l'odeur des gateaux que ma mère nous préparait.

les grands repas de noël ou l'ont était beaucoup à table.

Je me souviens de la patience de mon père quand il m'apprenait à jouer aux échecs très jeune

Ou  quand il ma apprit à jouer à la belote.

Il portait toujours de grandes salopette de travail avec d'énorme poches, j'adorais grimper sur lui,

et fourrer mes petits pieds dans ses grandes poches.

Combien de fois n'a t'il pas du allez me porter dans mon lit car je m'était endormit sur lui en toute

sécurité.

Je n'est jamais eu une seule claque à mon père.

Il à toujours été là au moindre bobo, au moindre chagrin.

Même qu'il était agé, il comprenait tout.

Bien sur comme tous les jeunes j'ai fait ma crise d'ado,  comme tous les jeunes, j'ai maudit mes parents.

Mais quand je tourne les pages de ma vie, et que je me souviens c'est toujours vers mon papa que je me suis tourner.

MON PAPA, mon père, mon confident et meilleur ami, le pillier de ma vie.

Il sait des choses que je n'est jamais dite à personne.

Tous les conseils pour réussir ma vie vienne de lui.

Il est l'épaule de tout mes chagrins, le pillier de tous mes bonheurs.

C'est la seule personne avec qui je ne me suis jamais disputer.

Je n'aurais pas su rester sans le voir, oh je criais, je ralais, je claquais la porte, mais je suis toujours revenu.

Il à toujours sut m'écouter, me parler, me conseiller.

Par moment je n'étais pas d'accord mais j'ai toujours suivit ses conseils de vieux comme je disais.

J'ai put parler de tout sans tabou, il à toujours été là pour m'écouter.

J'ai son caractère de vieux flamand tetu, je pense mdrrr

Je me suis toujours dit mon père est éternel.

Puis mon père à perdut le grand amour de sa vie, ma mère.

Ma maman était son pillier à lui, il la soigné jusqu'au bout avec tout l'amour du monde.

Il l'adorait, la vénérait, c'était une grande dame elle s'est toujours occupé de tout.

Elle avait des enfants d'un premier mariage. 5 en tout

Qui était tous marier, ma mère était grand mère de nombreux petit enfants.

On passait des fêtes, des noël tous réunit ensemble, une très grande famille.

Ma plus vieille des soeurs est décédée quand j'étais très jeune, en laissant deux enfants

derrière elle, et bien sur c'est chez nous qu'ils sont arriver.

Elle à fait un immense cadeau a mes parents, ont à été élever comme frère et soeur.

Le plus petit avait 4 jours, mon ptit frère....

On vivait tous heureux ensemble, ya eut des haut et des bas mais dans l'ensemble ont était bien

Je tourne les pages encore et encore, des rencontres importante.

Il y a eut Sandrine ma meilleure amie, presque ma soeur, bien sur le bon coeur de mes parents lui ont

ouvert la porte de la maison et leur coeur, y'avait toujours une place à table pour l'un ou l'autre

qui arrivait.

Un endroit pour dormir, et une tasse de soupe pour se réchauffer, chez mes parents c'était la maison du bonheur.

Sandrine est décédée très jeune d'un accident de voiture, elle vit encore dans notre coeur à tous.

J'ai eut dider qui à fait un passage dévastateur dans ma vie, oh ne vous méprenez pas, il était homo

complètement, mais qu'est ce que j'ai put l'embeter avec mes soucis d'ado mdrrrr

Je l'est perdue de vue et c'est une très grande peine.

J'ai eut mes cousins théo et lionel, que je suivais partout étant petite.

D'ailleurs quand j'ai eut mon deuxième fils, le choix du prénom c'est vite imposer à mon esprit.

Le premier je n'aurait pas put, j'ai fait plaisir à ma mère qui voulait un petit poète, et qui l'a donc apeller rémy

Ma mère quand elle voulait quelque chose y'avait pas moyen de lui refuser....

Les grands amis de ma vie, je tourne la page et je tombe sur Jean Marc, mon ami de toutes les sorties,

de toutes les galères, ou est tu?

Et puis n'oubliont pas mon petit boudin, elle me supporte depuis très longtemps la pauvre.

Dès que j'ai un problème un ptit coup de fil et elle arrive.

Elle en a déjà passez des coups avec moi.

J'ai beau tournez les pages, discrètement elle y est inscrite depuis longtemps.

Je crois que c'est la seule personne à qui je pardonnerait tout.

Oh par moment elle m'énerve, mais elle me calme aussi.

Je tourne les pages, les pages et j'arrive a mes petits bonheurs.

Mes enfants mon fils rémy, mon amour, mon fils tant désirer.

Mon petit bonhomme qui à prit beaucoup de place dans ma vie.

Théo ma boule d'amour et de tendresse, qui grandit à vue d'oeil.

Et qui me ressemble tellement.

Ma petite princesse Clémence, qui porte en deuxième nom sandrine, et en troisième sylvie.

Le nom de deux personnes qui compte beaucoup dans ma vie.

Et mon petit bibou, mon petit prince en chocolat, qui m'apporte mon énergie et mon espoir de

vieillir en douceur.

j'arrive dans le chapître des rencontres capitales.

Deux grands yeux noirs, un caractère de chien, quelqu'un qui m'ignore.

Un grand animal sauvage à apprivoiser, un ami à se faire peut-être?

découverte de point commun, apprivoiser, sa deviens un grand ami, un confident.

Des galères passés ensemble à se soutenir l'un l'autre.

Des heures, des nuits complètes à se parler, on se ressemble tellement.

On se rejette, on se retrouve, on se déteste autant que l'on s'aime, on se comprend.

Bizarre de se découvrir un jumeau, les mêmes pensées, les mêmes désirs.

Quelqun qui me comprend, bonheur désespoir.

Et puis la roue tourne, on s'aime, on n'arrive plus à se détacher, besoin d'être toujours

avec l'autre.

Je cours direction chez mon père qui n'a qu'un conseil pour moi

Vas y fonce tu verras seul le temps te le dira

Et encore une fois j'ai écouter tes conseils, je me suis reconstruite un peu à la fois.

J'ai créée un nouveau bonheur rien qu'à moi.

Mon homme, mon amour, mon pillier, l'épaule de mes angoisses et de mes peurs.

Au premier coup d'oeil tu sais si je vais mal ou bien.

Tu me rapelle quelqun?

Tu est mon confident, mon meilleur ami, mon amant , et bientot mon mari.

Le père de tous le monde.

J'arrive aux pages blanches ou j'écrirai peu à peu mon avenir, mes futurs peurs angoisses ou bonheur.

Ecrire pour moi est une délivrance de tous mes chagrins, et je crois que je l'avais oublier.

La vie est belle, il faut prendre des petits bonheurs au fur à mesure des jours qui passent.

Je referme ce livre et le met de côté dans un coin de mon coeur ou personne ne pourra me le voler.

C'est le livre des souvenirs.